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EDITO
Nous continuons à nous mobiliser, améliorant chaque jour l'organisation nationale et fédérale de notre mouvement pour faire entendre toute sa diversité et faire vivre tous ses talents. C'est le sens des dernières réunions de cadres que nous avons eues en mai et en juin et c'est également le sens de notre nouveau bureau politique. Nous continuons de travailler aux propositions permettant de faire vivre nos idéaux de justice sociale, de dignité et de respect, pour trouver le meilleur équilibre entre la solidarité et l'effort dans un temps de grandes difficultés. Nous continuons de nourrir nos grands axes de réflexion pour mieux répondre aux préoccupations des Français sur les questions d'éducation, de santé, de logement et d'emploi. Je veux faire de cet été un temps de réflexion, qui devrait aboutir, à la rentrée prochaine, à la sortie d'un livre sur ce que signifie pour moi la France. Ce travail, introspection autant que voyage dans la France d'aujourd'hui, m'apparaît comme une nécessité vitale. A la vérité, c'est une question qui se pose à chacun de nous à la veille d'une échéance décisive pour notre pays. Nous le sentons tous, notre imaginaire national est en désarroi et nous avons besoin d'une chose plus que de toute autre : savoir à nouveau ce que c'est qu'être français et pouvoir en être fiers. Tout le reste suivra. Et pour cela, nous devons chercher, en notre âme et conscience, dans nos vies, dans notre expérience, dans notre parcours et notre éducation ce qui fonde cet amour de la France pour tenter de le faire partager à l'ensemble de nos concitoyens et leur redonner confiance dans notre pays. C'est désormais notre tâche essentielle. Elle suppose, à chaque pas, de refuser la division et d'oeuvrer à un rassemblement autour de principes qui nous dépassent et autour d'efforts concrets, pour juguler la dette, pour enrayer notre perte de vitesse économique, pour redonner voix au message de la France à travers le monde. A l'heure où la dispersion va gagner les esprits, où nombreux seront ceux qui seront tentés de faire valoir leurs différences dans telle ou telle campagne, soyons le mouvement qui s'attache à rappeler les Français à l'essentiel. Dominique de Villepin | ||||
Convention du 19 juin 2011 : Pour une France citoyenne, juste, indépendante.
Ce support est un moyen supplémentaire pour mobiliser efficacement nos compatriotes sur nos idées et les convaincre de la pertinence de l'alternative que nous proposons pour 2012. Car nous le voyons bien, nous sommes les seuls aujourd'hui à ouvrir le débat sur les questions qui sont au coeur des préoccupations quotidiennes des Français. Nous sommes les seuls à refuser ces polémiques stériles qui alimentent la chronique médiatique. Nous sommes les seuls à prôner le rassemblement autour de l'essentiel et de la défense de l'intérêt général. Devant les difficultés qui s'amoncellent de jour en jour, devant l'agitation qui s'empare de celles et ceux qui concourent pour la meilleure petite phrase ou pour la meilleure alliance politicienne, gardons notre cap et notre sérénité. Rappelons sans cesse que nous avons des propositions qui refondent notre République : en rendant à la citoyenneté sa dimension de dignité, de solidarité et d'engagement ; en construisant un nouveau modèle économique et social exigeant en termes de justice, d'équilibre et de respect de l'environnement ; en redonnant à l'Etat une réelle capacité d'action avec de nouveaux outils pour regagner des marges de manoeuvre. Dans cette France en désarroi, Dominique de VILLEPIN nous redonne de l'espoir. Sa stature d'homme d'Etat, son expérience nationale et internationale, sa vision face aux défis et enjeux à venir sont, pour notre mouvement et notre pays, une chance extraordinaire. Cette France citoyenne, juste et indépendante que nous souhaitons, c'est la France que nous aimons, c'est notre France. Que chacune et chacun d'entre vous s'approprie ce projet, l'explique, le défende et le nourrisse pendant l'été. Nous nous retrouverons en septembre pour une nouvelle étape très importante sur le chemin de 2012. Brigitte GIRARDIN | ||||
TEMOIGNAGES de Cadres départementaux | ||||
Alizée BAUWENS, Responsable des Jeunes Solidaires en Seine-Maritime. | ||||
Dominique de VILLEPIN a une vision véritable et ambitieuse de la France et de la Politique. Il se pose ainsi aux antipodes de la politique partisane et incarne, pour moi, le changement nécessaire à la politique française.
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Olivier BONNIE, Responsable de la Mobilisation Citoyenne en Corrèze. | ||||
Mon engagement au sein de République Solidaire est le fruit d'une réflexion et d'une vision où les valeurs humanistes doivent être prioritaires dans la société dans laquelle nous vivons.
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Nicolas REMES, Responsable du réseau social dans le Val-d'Oise | ||||
« Dans ce temple des Nations Unies... », « Les gardiens d'un idéal... », « Et c'est un vieux pays... »... En ce jour du 14 février 2003, nous découvrions le vrai visage d'un homme, ancien secrétaire général de l'Élysée peu médiatique. Depuis longtemps dans ce pays à l'économie moribonde, à l'ascenseur social bloqué, nous avions espéré que ce jour arriverait, que la voix de la France serait de nouveau incarnée. Ce jour-là, à l'ONU, nous avions enfin un homme d'Etat dont le discours permit vite une union nationale, moins d'un an après le coup sur la tête du 21 avril 2002. Nommé Premier ministre deux ans plus tard, Dominique de VILLEPIN fut rapidement populaire et les Français se demandaient même s'il ne pouvait pas devenir le successeur de Jacques CHIRAC. Nous connaissons tous la suite. C'est dans cet état d'esprit que la fédération du Val-d'Oise s'est créée. Forts de notre différence, et au travers d'activités comme les cafés Villepin, les tractages sur les marchés, les rencontres avec les élus locaux mais aussi d'évènements plus festifs (pique-nique, galette...), nous nous efforçons d'implanter notre mouvement. Tous les profils sont représentés : anciens baroudeurs d'autres partis politiques, élus, nouveaux venus, jeunes, plus âgés, chômeurs, cadres, agriculteurs, syndicalistes... Les adhérents du Val-d'Oise représentent la diversité du département. De Sarcelles à L'Isle-Adam, en passant par Argenteuil, Cergy-Pontoise ou Enghien-les-Bains, nous comptons nous imposer comme un mouvement politique majeur, qui sera présent dans le débat local comme il l'est désormais dans le débat national. C'est ensemble que nous pourrons enfin construire la République Solidaire que nous espérons tous. | ||||
Nicolas REMES et son équipe à la Convention du 19 juin à Paris | ||||
Guillaume BOTTINI, Responsable de la Mobilisation Citoyenne à Paris. | ||||
En tant que responsable de la mobilisation citoyenne à Paris, et conjointement avec la fédération de Paris, nous nous sommes efforcés de mobiliser et d'organiser des tractages ces dernières semaines. Ainsi, du début du mois de juin à la mi-juillet, nous aurons organisé sur Paris près de quarante tractages, soit deux par arrondissement. Aujourd'hui, nombreux sont ceux qui considèrent le tractage comme une tâche ingrate, réservée aux « jeunes » dans d'autres partis. Ce n'est pas le cas à République Solidaire, où toutes les générations se sont retrouvées sur le terrain pour partir à la rencontre des Parisiens. Sur les marchés, à la sortie des métros, des gares, les réactions ne se font guère attendre en général : « Quelle beau t-shirt! Je peux en avoir un? », « Villepin !? Il est candidat? », « Quelle allure, c'est mon favori! »... Cependant, nous devons poursuivre nos efforts de mobilisation et convaincre les plus réticents de s'aventurer sur le terrain, en invitant plus largement nos sympathisants à participer aux tractages. Pour cela, je souhaite développer notre communication via les réseaux sociaux, et vous appelle donc à la relayer systématiquement auprès de vos contacts. Nous comptons sur chacun d'entre vous pour vous mobiliser, afin de porter ensemble sur le terrain les idées de Dominique de VILLEPIN. | ||||
Krimo MESSAOUD-GUERNI, Justine GETTY, Guillaume BOTTINI et Jean-Claude HECKMAN | ||||
DEPLACEMENTS de Dominique de VILLEPIN | ||||
Le 23 février 2011, Dominique de VILLEPIN s'est rendu à Lyon (Rhône).Accueilli par Azouz Begag, ancien ministre, et après un déjeuner de travail sur la politique de la Ville avec des associations dans le quartier de La Guillotière au restaurant « Le Soleil », Dominique de VILLEPIN a visité le foyer Christophe-Mérieux de l'association « Habitat et Humanisme » où il a vanté les mérites de cet hébergement intergénérationnel. Il s'est ensuite rendu à un débat avec les étudiants de l'Ecole de Management de Lyon, qui a rassemblé plus de 500 élèves sur le thème: « La France face aux défis du monde ».En attendant la voiture qui devait l'y emmener, il a profité de la présence d'étudiants en droit devant Lyon 3 pour discuter de leur cursus. « La logistique cafouille un peu mais c'est bien, je peux prendre le temps de vivre et de parler aux gens ». Dominique de VILLEPIN vient de parcourir quelques centaines de mètres dans le quartier. Des étudiants traversent la rue pour discuter quelques instants avec lui de leur avenir. Lors de ses rencontres avec nos compatriotes, l'ancien chef du gouvernement appelle les Français à se « réunir », alors que « nous sommes dans une situation politique où plus personne ne maîtrise plus rien ». Aller d'un quartier populaire à une grande école de commerce ne choque pas celui qui affirme être « un des hommes politiques qui a le plus de facilité à vivre la diversité française ». Pour visionner la vidéo du déplacement, cliquez sur le lien suivant : | ||||
Le 4 avril 2011, Dominique de VILLEPIN s'est rendu à Denain (Nord).Accueilli en gare de Douai par Isabelle BAERT, conseillère municipale de Lille et responsable de la fédération du Nord de République Solidaire, et par Emmanuel CHERRIER, responsable de la mobilisation citoyenne, Dominique de VILLEPIN est allé saluer Patrick ROY, député-maire socialiste de Denain qui venait de faire son retour à l'Assemblée Nationale après de longs mois d'absence. Il a déclaré : « C'était un échange amical, avec un homme qui nous donne un exemple de combat personnel et de dignité. Je suis heureux que toute l'Assemblée lui ait témoigné son estime et son amitié ».Au moment où nous relatons cette rencontre avec Patrick ROY dans notre lettre d'information, notre émotion est grande et nous avons une pensée particulière pour son épouse qui était à ses côtés pour recevoir Dominique de VILLEPIN. Dominique de VILLEPIN a ensuite visité longuement la Fonderie et Aciérie de Denain (FAD), tout à l'écoute des ouvriers. A suivi un déjeuner avec des représentants syndicaux, l'occasion d'un échange franc sur leurs difficultés et leurs attentes et où Dominique de VILLEPIN a expliqué les mesures- phares de son projet, notamment le revenu citoyen et la cogestion dans les entreprises. Enfin, une réunion a été organisée avec quelques chefs d'entreprise de la région, responsables de PME. Dominique de VILLEPIN, bien conscient du manque de compétitivité de nos PME, a exposé ses propositions de baisse du coût du travail mais aussi d'accompagnement à l'export. Pour visionner la vidéo du déplacement, cliquez sur le lien suivant: | ||||
Le 18 avril 2011, Dominique de VILLEPIN s'est déplacé à Lille et à Marcq-en-Baroeul (Nord).Arrivé en gare de Lille, Dominique de VILLEPIN a gagné à pied la maison natale de Charles de GAULLE, où il se rendait pour la première fois. Il a expliqué qu'il ne prétendait « pas du tout être le seul de ses héritiers, ni le seul à incarner ses valeurs ». « Mais j'essaie de puiser de la force dans l'idéal qui a été le sien », a-t-il dit. « Pour faire nation, pour faire peuple, nous avons besoin de ces grandes figures de l'Histoire (...) qui ont tout donné pour leur pays, de ceux qui ont su dépasser leur propre intérêt, les petites querelles, les petites chapelles, les ambitions personnelles », a-t-il poursuivi. Après cette visite, Dominique de VILLEPIN s'est rendu dans les locaux de Château Blanc, l'une des unités de production du groupe HOLDER, un site de boulangerie, viennoiserie et pâtisserie industrielle. Accueilli par Francis HOLDER, président du groupe, et Hervé VALLAT, directeur industriel de Château Blanc, il a abordé les problématiques du secteur de l'industrie agroalimentaire, fortement touché par le renchérissement des matières premières. Dans le Nord, Dominique de VILLEPIN s'est défendu de mener campagne en vue de 2012, une position qu'il a réitérée en soirée sur le plateau du Grand Journal, sur Canal+, en affirmant que « le temps de la présidentielle » n'était pas encore venu. Il a profité des micros et caméras qui l'entouraient pour faire passer son message : « Je ne veux pas faire comme les grands partis aujourd'hui, un projet qui relève de l'aménagement, de l'ajustement ou de la promesse clinquante qu'on ne tient jamais »...« Je ne veux pas participer à une aventure qui décevrait les Français. Ça implique d'être ambitieux, d'être capable de refonder notre vie politique, refonder notre vie économique et sociale (...). C'est aux citoyens de prendre le pouvoir, c'est au peuple français de prendre le pouvoir, et ça veut dire ne pas laisser les hommes politiques s'arranger entre eux », a-t-il poursuivi. Pour visionner la vidéo du déplacement, cliquez sur le lien suivant: | ||||
Le 30 juin 2011, Dominique de VILLEPIN a effectué un déplacement à Auch (Gers).Dominique de VILLEPIN a commencé sa visite par l'Hôtel de Ville pour saluer Franck MONTAUGE, maire d'Auch, conseiller général, président de la communauté de communes du Grand-Auch. Il a déclaré à un journaliste qu'il avait « été très bien reçu par le maire d'Auch. Si parfois le sectarisme des élus locaux est au rendez-vous, ici, ce n'est pas le cas, et tant mieux. C'est l'esprit de la République et de la tolérance. Il faut le défendre ». Dominique de VILLEPIN a passé ensuite la matinée à Auch et évoqué la ruralité avec des élus et des acteurs économiques du département, répondant ainsi à l'invitation de Pierre TABARIN, responsable de la fédération gersoise du mouvement. Temps fort du déjeuner, les échanges sur les problèmes de transport, logement, éducation, accès aux soins, emploi. Dominique de VILLEPIN a déclaré : « Une mère de famille m'a interpellé au marché en me disant que les jeunes ne trouvent pas de travail dans le Gers, qu'ils sont obligés de se rendre à la métropole régionale, voire à Paris, pour trouver un emploi. Il faut pourtant prendre en compte la marque de chaque territoire. » Sur l'Elysée, Dominique de VILLEPIN a évoqué (en conférence de presse à l'hôtel de France) « ce palais charmant, mais sans outils ». Des « outils » dont il souhaite, s'il est élu, doter l'Etat car « notre France souffre d'incapacité chronique à la décision ». Et de s'emporter : « Plus de 40 ans pour mettre en deux fois deux voies la route Toulouse-Auch, ce n'est pas sérieux ! (...) Je connais l'Etat, j'ai l'expérience de l'Etat (...) Il faut changer de braquet et refonder. » Pour visionner la vidéo du déplacement, cliquez sur le lien suivant: | ||||
EVENEMENTS | ||||
Le 18 février 2011, Dominique de VILLEPIN a rencontré la presse au CAPE (Centre d'Accueil de la Presse Etrangère), à Paris.Il a aussi fermement pris position sur le débat lancé en France sur la laïcité et l'islam. « Que voulons-nous? A quoi jouons nous? Moi j'ai beaucoup de sympathie pour les apprentis sorciers, mais je n'ai pas le sentiment que dans un pays démocratique, cela puisse se faire sans conséquence », a-t-il averti. « Nous avons eu le débat sur l'identité nationale, nous avons eu le débat sur la burqa, nous avons eu la question des Roms, et nous avons aujourd'hui, au terme de tout cela, un Front national à 20 % dans un récent sondage » a-t-il souligné. « Dans un pays qui souffre, nous n'avons pas à prendre (...) le risque de jouer des divisions, de jouer des peurs et des surenchères, sans quoi il ne faudra pas s'étonner du résultat », a-t-il conclu. Pour visionner la vidéo de la conférence, cliquez sur le lien suivant: | ||||
Le 14 avril 2011, au Press Club à Paris, Dominique de VILLEPIN a présenté son projet devant de nombreux journalistes de la presse nationale et étrangère.« J'estime que pour être crédible, il faut un projet fort, un projet qui serve les idées de la France ». « Viendra le temps de l'élection présidentielle. Ce temps n'est pas venu. Les Français ne sont pas au stade de la sélection des joueurs pour le match, donc respectons ce temps », a-t-il ajouté, comparant l'actuelle éclosion de candidatures à une « kermesse de printemps ». (REUTERS) Le projet prévoit aussi la création de nouveaux services publics dans le secteur bancaire et celui du logement, la redéfinition d'un service public de la santé et l'édification d'un service public de la petite enfance. « Nous devons assumer une société de libertés et de respect », proclame-t-il, annonçant sa volonté de combattre « toutes les discriminations ». Enfin, Dominique de VILLEPIN veut « renouer avec l'indépendance et la vocation de la France à défendre un message original », et faire en sorte que celle-ci redevienne « un pays d'accueil ». Une rupture, en quelque sorte. (LE MONDE) Pour visionner la vidéo de la conférence, cliquez sur le lien suivant: | ||||
Le 1er mai 2011 à Paris, Dominique de VILLEPIN a réuni l'ensemble des Responsables des fédérations de République Solidaire. Dominique de VILLEPIN propose une « révolution de la dignité ». L'objet de cette réunion à huis-clos était d'expliquer le projet de Dominique de VILLEPIN et de discuter de façon très libre des points de ce projet entre les participants. Jean-Pierre GRAND, député de l'Hérault, a donné des indications et des pistes pour la recherche des parrainages, et les questions financières ont été abordées avec Laurent TESSLER, Trésorier du mouvement. Plus de trois heures d'échanges riches. A l'issue de la réunion, le groupe s'est rendu à pied, depuis la place de la République, dans les nouveaux locaux du mouvement (situés 14 rue 8 mai 1945 dans le 10è arrondissement, proches de la gare de l'Est), pour un moment de convivialité. Pour visionner la vidéo de la conférence, cliquez sur le lien suivant: | ||||
Le 19 juin 2011, à la Maison de l'Amérique latine à Paris, Dominique de VILLEPIN a réuni les cadres de République Solidaire à l'occasion de la Convention de son mouvement.
Entouré de Brigitte GIRARDIN, Secrétaire Générale du mouvement, des députés Jean-Pierre GRAND et Marc BERNIER et de l'ancien ministre Azouz BEGAG, Dominique de VILLEPIN a présenté son projet pour « une France citoyenne, juste, indépendante », thèmes fondamentaux qui sont déclinés dans la brochure de son projet et qui est désormais disponible sur le site internet de République Solidaire. Il est notamment revenu sur l'une des mesures phares, le revenu citoyen de 850 euros mensuels, « revenu à part entière en contrepartie d'une activité d'utilité publique (...) Plus personne dans notre pays en-dessous du seuil de pauvreté, c'est une révolution », a-t-il insisté. « Nous voulons la refondation politique, économique, sociale, culturelle et internationale, parce que nous sommes dans un temps aussi grave que 1944 et 1958. Si nous ratons cette occasion de 2012, alors c'est peut-être un long tunnel pour de longues décennies qui nous attend », a-t-il poursuivi. Pour visionner la vidéo de la convention, cliquez sur le lien suivant: |
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